Le Plus Grand Des Petits Bals Du Monde
Ce groupe a-typiquement carcassonnais se forme en 1998, autour d'une certaine idée de la musique festive ( à savoir: c'est pas parce qu'on fait danser qu'il faut oublier la profondeur des textes )... et sur un certain terrain: les fêtes de village de l'Aude, où le bal traditionnel est une discipline exigeante (4 heures sur scène, danses à la commande, etc...). A cette rude école, et après une bonne centaine de soirées, les z'Hameçons s'imposent tranquillement auprès du public local comme une référence d'originalité et de savoir faire.
Quatre types dans un décor vite bricolé, vous annoncent par une petite chanson qu'ils vont commencer... Ça démarre sec, sur un air de pasodoble archi-connu mais joué à la banjoline tiens !
Vous n'êtes pas venus pour danser, mais au premier tango vous reconnaissez un tube de Fernandel, alors vous restez savourer le texte à la buvette...
A peine vous finissez votre verre que le petit bal musette s'est évanoui et que les mêmes Z'Hameçons font péter Chuck Berry et Eddy Mitchell comme si leur vie en dépendait; au slow qui suit - signé par le grand Léo - c'est vous qui êtes... Ferré !
Sans aucun temps mort, ils ne vous lâcheront plus : biguine, samba... et toujours, la chanson vous dit quelque chose... Moustaki ? Nino Ferrer... Bobby Lapointe !
Et là : Brassens, revu et corrigé en rock, funk, blue-grass, à toutes les salsas...
En sortant (au bout de quatre heures), vous ne savez toujours pas si c'était un concert - mais alors, très très dansant - ou un bal, mais alors, complètement déconcertant !
Ce groupe a-typiquement carcassonnais se forme en 1998, autour d'une certaine idée de la musique festive ( à savoir: c'est pas parce qu'on fait danser qu'il faut oublier la profondeur des textes )... et sur un certain terrain: les fêtes de village de l'Aude, où le bal traditionnel est une discipline exigeante (4 heures sur scène, danses à la commande, etc...). A cette rude école, et après une bonne centaine de soirées, les z'Hameçons s'imposent tranquillement auprès du public local comme une référence d'originalité et de savoir faire.
Quatre types dans un décor vite bricolé, vous annoncent par une petite chanson qu'ils vont commencer... Ça démarre sec, sur un air de pasodoble archi-connu mais joué à la banjoline tiens !
Vous n'êtes pas venus pour danser, mais au premier tango vous reconnaissez un tube de Fernandel, alors vous restez savourer le texte à la buvette...
A peine vous finissez votre verre que le petit bal musette s'est évanoui et que les mêmes Z'Hameçons font péter Chuck Berry et Eddy Mitchell comme si leur vie en dépendait; au slow qui suit - signé par le grand Léo - c'est vous qui êtes... Ferré !
Sans aucun temps mort, ils ne vous lâcheront plus : biguine, samba... et toujours, la chanson vous dit quelque chose... Moustaki ? Nino Ferrer... Bobby Lapointe !
Et là : Brassens, revu et corrigé en rock, funk, blue-grass, à toutes les salsas...
En sortant (au bout de quatre heures), vous ne savez toujours pas si c'était un concert - mais alors, très très dansant - ou un bal, mais alors, complètement déconcertant !
